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eglise de demain - Page 134

  • Trois modèles de croissance

    Vingt-neuf centres de formation chrétienne étaient représentées par 80 professeurs et directeurs. Venant d’Allemagne, de Suisse d’Autriche et de France notre réflexion portait sur « les opportunités et dangers de la société multiculturelle pour nos lieux de formation ».

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  • Communication interculturelle

    Depuis fort longtemps, le travail missionnaire ne peut plus éviter le sujet de la communication interculturelle. Mais l’église locale en Europe ainsi que les centres de formation de pasteurs peuvent s’en passer presque totalement.

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  • Eglise sans frontières

    David Lundy est directeur international de Arab World Ministries et a travaillé avec OM pendant des années, aussi en tant que directeur de OM au Canada. Nous indiquons son ouvrage Borderless Church : Shaping the Church for the 21st Century, Authentic Media, 2006. J’ai pu lire la recension faite dans la revue Evangelical Missions Quarterly 42, 4 d’octobre 2006, p 536.

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  • L’église sera-t-elle écolo ?

    La sensibilité écolo semble prendre pieds dans le milieu évangélique. En général, si dans la société des préoccupations écologiques sont fréquentes, elles sont rares dans les églises évangéliques.

    Pourquoi ? Cela s’explique en partie par la conception que toute cette création est vouée à être consumée par le feu. Donc, pourquoi entretenir ce qui sera bientôt détruit ? (dans un autre domaine : pourquoi travailler aujourd’hui et être payé à la fin du mois, si le Seigneur devait revenir le 20 ?)


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  • Trouvez l'erreur (pour ou contre)

    Le missionnaire qui travaille au loin doit apprendre langue et coutumes des personnes à atteindre. Cela est devenu une obligation que personne ne contestera. De plus, Dieu s'en réjouit.

    Lorsque le pasteur ou l'évangéliste fait de même pour rejoindre ses voisins, il est dit de lui qu'il adapte l'Évangile, qu'il le dilue, qu'il cherche à plaire plus qu'à annoncer. Dieu ne peut donc pas s'en réjouir.

    Une uestion demeure : « comment peut-on communiquer de manière efficace sans tenir compte des besoins et des sensibilités, des particularités linguistiques et des préférences culturelles des personnes auxquelles nous nous adressons ? »1 Lorsque nous communiquons, nous le faisons aussi pour Dieu. Nous parlons en son nom.

    Nous ne voulons plaire ni à nous-même, ni aux autres, mais à Dieu. Et plaire à Dieu, c'est communiquer de manière efficace sa bonne nouvelle, que l'on soit pasteur ou missionnaire. Cela devrait être la préoccupation des églises émergées (ou existantes) et émergentes.

    1 Miroslav Volf, "Dancing for God : Challenges Facing Theological Education Today", ERT 29, 3, 2005, p207, qui traite de tout autre chose que de l'église émergente.