Interpréter le culte en langue locale
Ce n’est pas vrai que « my tailor is rich ». Pourquoi alors parler anglais dans la « French Association of Baptist Churches » le dimanche au culte?
A Mulhouse, avec ses quelques 130 nationalités, nous avons supposé que la langue française n’est pas (encore) celle de tous nos voisins. Serait-ce une idée que de proposer une traduction simultanée du culte ? Mais pourquoi, puisque personne n’en a jamais fait la demande ?