"L’Église de demain ne sera pas une nouvelle Église, mais une Église rénovée en profondeur", écrit Marcel Légaut.

L'inquiétude de ce que sera l'église (ici l'Église avec majuscule, puisque catholique) conduit à chercher des pistes, à encourager le changement. A lire ici.

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« Une église qui reste telle qu'elle est, perd le contact », a averti le pasteur Gottfried Heinz, président d’une œuvre de de jeunesse évangélique (Evangelisches Jugendwerk in Württemberg (ejw)).

Selon Michael Herbst de l'Institut pour l'étude de l'évangélisation et du développement de l'Eglise (Institut zur Erforschung von Evangelisation und Gemeindeentwicklung IEEG) les thèmes de ralliement pourraient être : « le courage d'innover, garder les fondements, de l'humour, la joie de l'expérimentation, la clarté et de l’espace - et d’avoir une vie d’église joyeuse. »

Katrin Göring-Eckardt, membre du bureau de l’église protestante a noté dans son discours que l'Église pourrait se préparée au 21e Siècle, « si nous nous mettons en route sans crainte et sans insister sur les anciennes structures, regardant l’avenir avec joie et confiance ? Cela veut dire, tout vérifier et de garder ce qui est bon, être créatifs et trouver de nouvelles façons passionnantes pour apporter l'évangile au monde. » Rapport complet (en allemand)

Heinzpeter Hempelmann suggère aux églises de faire des offres ciblées pour atteindre des groupes sociologiquement homogènes, mais difficiles à rejoindre. Il ne s'agit pas de se contorsionner pour atteindre  un groupe particulier, mais de trouver dans nos églises des gens provenant de ces communautés, capables de les aborder. Car, finalement, l'église est tout aussi fragmentée et segmentée que la société.

Voir aussi : Eglise et présence sur Internet

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