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Les voisins de mon église

The Externally focused Church

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Une phrase tirée de ce livre. Si vous la connaissez déjà, faites comme si vous la lisiez pour la première fois.

"Que diraient les gens tout à fait normaux

de votre entourage

si demain

votre église,

votre cellule ou groupe de maison

fermait ses portes et

cessait d'exister?"

Pourquoi ne pas prendre le courage pour en parler dans l'église, en famille ou dans la cellule?

Si les voisins sont tristes, ou même fâchés, votre cellule ou église est missionnelle.

Si les voisins ne s'en rendent même pas compte, ou pire, sont heureux pour le calme revenu dans le quartier, alors vous n'avez pas encore touché à ce que veut dire être sel et lumière (Mt 5.16).

Commentaires

  • C'est la phrase extraite du livre qui me fait réagir. Je n'ai pas lu le livre, donc je ne m'exprime pas sur son contenu. J'ai l'impression avec cette phrase que les chrétiens devraient être des gens hors normes, exceptionnels. J'ai une collègue de travail pas-encore-chrétienne, qui par son sens du service m'a fait croire, au début de notre collaboration, qu'elle était chrétienne. Il y a des couples pas-encore-chrétiens qui donnent envie d'être mariés. Ce n'est pas si évident de faire la différence dans un monde occidental. Pourquoi les professionnels de la foi nous mettent tellement de poids sur les épaules? Les gens s'en foutent de notre témoignage. C'est ça le drame de notre société. Nous sommes sur sol spirituel "en macadam" et il faudrait discuter en église pourquoi nos "graines" ne prennent pas racine. Dans mon travail en entreprise, j'ai prié avec des gens, j'ai même béni un mariage de pas-encore-chrétien et présidé une cérémonie d'enterrement, mais l'indifférence des gens est à son comble en occident. Alors franchement, ils n'ont rien à cirer du groupe de maison qui se réunit dans leur maison. En bien comme en mal.

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