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Missiologie - Page 11

  • Communication interculturelle

    Depuis fort longtemps, le travail missionnaire ne peut plus éviter le sujet de la communication interculturelle. Mais l’église locale en Europe ainsi que les centres de formation de pasteurs peuvent s’en passer presque totalement.

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  • Trouvez l'erreur (pour ou contre)

    Le missionnaire qui travaille au loin doit apprendre langue et coutumes des personnes à atteindre. Cela est devenu une obligation que personne ne contestera. De plus, Dieu s'en réjouit.

    Lorsque le pasteur ou l'évangéliste fait de même pour rejoindre ses voisins, il est dit de lui qu'il adapte l'Évangile, qu'il le dilue, qu'il cherche à plaire plus qu'à annoncer. Dieu ne peut donc pas s'en réjouir.

    Une uestion demeure : « comment peut-on communiquer de manière efficace sans tenir compte des besoins et des sensibilités, des particularités linguistiques et des préférences culturelles des personnes auxquelles nous nous adressons ? »1 Lorsque nous communiquons, nous le faisons aussi pour Dieu. Nous parlons en son nom.

    Nous ne voulons plaire ni à nous-même, ni aux autres, mais à Dieu. Et plaire à Dieu, c'est communiquer de manière efficace sa bonne nouvelle, que l'on soit pasteur ou missionnaire. Cela devrait être la préoccupation des églises émergées (ou existantes) et émergentes.

    1 Miroslav Volf, "Dancing for God : Challenges Facing Theological Education Today", ERT 29, 3, 2005, p207, qui traite de tout autre chose que de l'église émergente.

  • Mises en garde

    Nous avions déjà indiqué par le passé que le mouvement dit "église émergente" est perçu comme dangeureux par bien des chrétiens. Pour trouver les mises en garde, voyez les sites comme "vigi-sectes" et "berean beacon".

    Chacun appréciera. Il nous semble que la chasse à l'hérésie est difficile. Car le mouvement en question n'est  pas homogène. Il n'y a ni leader reconnu, ni théologie standardisée, De plus, les amateurs de l'église émergente ne se reconnaissent pas dans les critiques qui leur sont adressées.

    Comment s'en sortir?

    Que veulent les adeptes de l'église émergente? Les réponses sont multiples.

    Pour les uns il s'agit de créer de nouveaux groupes de chrétiens, capables de rejoindre leurs voisins avec l'Evangile.

    Pour d'autres il s'agit de comprendre (et pas de créer) ces nouveaux groupes ainsi que les chrétiens qui les constituent. Les églises se vident (ou ne grandissent pas). Par contre, de plus en plus de chrétiens se rassemblent ailleurs qu'à l'église. Qui sont-ils? Et que peuvent-ils nous enseigner?

    Les crispations sont certainement disproportionnées. Car les questions qui se posent dans le cadre de "l'église émergente" depuis environ cinq ans ont été abordées depuis longemps en missiologie. Car comment doit être l'église (dans ses formes, structures, sacrements, mobilier, lieux de rencontre, etc.) si elle veut être culturellement acceptable?

    Finalement, l'église émergente cherche des réponses à cette question - pas pour le Nepal (comme en missiologie) - mais pour la Suisse. Il faut trouver des réponses. Osons.

    La Réforme parle d'une église qui se réforme en permanence. Alors, entreprenons des réformes, une à la fois.

  • Apports missiologiques

    Les questions qui se posent aux missionnaires ressemblent parfois à celles qui se posent dans les ministères d'implantation d'églises. Bob Goldmann cherche réponse à une question gênante: serions-nous en train de ralentir (sans vraiment nous en rendre compte) le mouvement de personnes qui se tournent vers le Christ?

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