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Créer une atmosphère de groupe lorsqu'on est seul

Seul(e) devant un écran, je visionne un culte préenregistré.

Et lorsque le dernier mot est dit et que la retransmission du culte est terminée, me voilà encore seul(e).

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Il est possible de créer du lien par des applications ouvertes à tous comme Teams, Skype, Zoom, Google Meet, etc.

Ou de se retrouver par WhatsApp, Signal ou autre dans des groupes qui se connaissent.

Avant le culte

Il est possible de se connecter sur Zoom 15 minutes avant l'heure du culte pour prendre des nouvelles, prendre l'apéro.

Pendant le culte

Lors du culte en présentiel, bien des personnes suivent sur Zoom ou Teams ce qui se passe dans la salle.
Pour des témoignages et autres contributions orales, il est possible de donner la parole a des personnes qui sont chez elles.
Il est possible de projeter l'image de l'intervenant sur l'écran de la salle et d'ouvrir son micro pour l'entendre.

En début du culte la caméra fait un tour de la salle pour montrer aux personnes à la maison qui a pu venir. Et aux personnes dans la salle nous communiquons les noms de ceux qui nous suivent sur Internet.

Après le culte

Une église qui transmet tout le culte par YouTube ne peut pas entrer en communication avec les personnes qui sont chez elles.

Ce qu'elle propose sont des retrouvailles sur Google Meet (Zoom et Skype vont aussi) tout de suite après la retransmission.

On reprend alors facilement le sujet de la prédication.

Quand on ne peut pas être plus que cinq

Dans une église les membres s'invitent pour visionner la retransmission de l'enregistrement du culte.

L'église s'est organisée, selon les possibilités d'accueil des uns et des autres, et on se retrouve à trois, quatre ou cinq dans un salon ou une cuisine.

Cette formule a un avantage par rapport aux autres, car elle peut intégrer les personnes technophobes.

Ainsi des personnes qui ne sont pas à l'aise avec l'informatique peuvent recevoir chez elles (ou être reçues chez l'autre). Personne n'est exclu par l'usage (ou le non-usage) de l'outil informatique.

La communion fraternelle se développe de manière très naturelle, malgré la COVID ou le coronavirus.

 

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